- Emmanuel Hocquard, Une grammaire de Tanger, CipM, 2008
- Emmanuel Hocquard,Les babouches vertes, CipM, 2009
- Emmanuel Hocquard, Les coquelicots, CipM, 2011
- Emmanuel Hocquard, Avant, CipM, 2012
- Marie-luce Ruffieux, La nageoire de l'histoire, Contrat maint, 2016
- Rosmarie Waldrop, Manuel de mandarin, traduit de l'anglais par Bernard Rival, Contrat maint, 2016
1- Relire la grammaire de Tanger d'Hocquard pour le CCP. Un autre cadre, et un certaine appréhension (je repense à ce que m'avais dit Sébastien: pour écrire sur un auteur, aime-le). Dépacer la révérence.
2- C'est une grammaire au sens large, un livre de lecture, un livre d'histoires, un livre léger, un livre profond, un livre de désir, de plaisir.
3- Hocquard interroge, il provoque une démarche d'investigation, ce qui en fait un auteur précieux. On sort de ses livres avec une démarche un peu différente, et pas avec le sentiment d'avoir passé du temps sur quelque chose d'ardu. Il s'est passé quelque chose.
4- La question du "genre". Comment classer ces livres?
5- Marie-Luce Ruffieux, quelque chose d'onirique dans ces proses, leur écriture. quelque chose qui m'intéresse, me pose problème en ce moment.
6- Un petit grand livre de Rosmarie Waldrop, par un excellent traducteur.
7- "Toutefois, sans entrer dans les complexités de cause et d'effet, l'espace entre deux langues n'est pas l'histoire entre des miroirs, mais il se courbe le long de la grande muraille de l'erreur, une forme raffinée d'aventure."
8- Ce qui advient dans l'erreur, l'errance, six livres de questions.
vendredi 14 avril 2017
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