- Claude Royet-Journoud, Laque sur polaroïd, Michel Chandeigne, 1996
- Claude Royet-Journoud, Le récit de Lars Fredrikson, A la pension Victoria, 2012
- Pierre Alferi, Intime, Argol, 2013
- Uccio Esposito-Torrigiani, FK, manuscrit (paru depuis ici)
1- Un livre d'images. Les gribouillis de CRJ, dans la répétition des motifs, avec un quelque chose de l'enfance et de l'archétype. Le magnifique texte de Dominique Fourcade pour le clore. Quelque chose d'objectif, et pas tellement pornographique (ce qu'une première approche pourrait laisser penser) et l'idée de compression, aussi.
2- Le contraire: un texte sur un artiste, évoquant une "FIGURE DISPERSANT LA VERTICALITE" et le "simulacre d'un corps".. Un livre d'image.
3- Récit par lettres en vers. Je suis toujours fasciné par la dextérité de Pierre Alferi, une simplicité efficace et la coupe particulièrement. Lettres images et son. (Avec un DVD et la musique de Rodolphe Burger)
4- Trois rapports. Trois différences.
5- Donner son avis sur un texte qui compte beaucoup pour son auteur, lequel compte beaucoup pour moi. La phrase d'UET est très étrange dans son effet: elle oscille entre la période très longue et une forme d'anacoluthe, qui ne tarde pas à avoir un effet presque fiévreux, onirique, sur le lecteur. Ici, un roman uchronique: FK n'est pas mort de la tuberculose et il est parti vivre dans un kibboutz après avoir détruit la majeure partie de son œuvre. Un très beau livre et une belle expérience de lecture encore, avec ce sentiments de bifurcations constantes, de perte, un peu brumeuse.
6- Il arrive des jours où l'on a le dégoût des livres. L'un de ces soirs-là, j'ai pris Environs de L. dans la bibliothèque, qui m'a été un antidote efficace.Lisez UET!
jeudi 13 avril 2017
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