- Claude Royet-Journoud, Les natures indivisibles, Gallimard, 1997
- Claude Royet-Journoud, Lettre de Symi, Fata Morgana, 1980
- Claude Royet-Journoud, Théorie des prépositions, POL, 2007
1- De le relecture de la tétralogie à celle des "œuvres complètes": décision, passage.
2- Une lettre personnelles comme livre, par l'initiative de celui qui la reçoit (Roger Laporte): un commentaire, une écriture, un choix. Quelque chose qui oscille entre différents entre-deux.
3- "Relisant la première séquence, je me surprends à penser - curieusement devant le mot colère - qu'il y a là "lyrisme". Un lyrisme perturbateur."
4- Matérialité de la langue - et, à nouveau, sensualité du matériau (un "lyrisme perturbateur", là aussi?).
5- Je me souviens d'une lecture complètement ratée de Théorie des prépositions: je lisais, mais rien ne se faisait, aucun lien, un discontinu sec, aucune élaboration dans la préhension du texte. Un vide. Uniquement: le matériau, papier et impression. Et rien d'autre. Peut-être aussi une lecture pas si ratée: un rapport autre. Qui éclaire les suivants.
6- Le livre: continu et séparé. Un objet, qui a son rythme et son bornage propres.
7- "le bord est un apparat du sens / un étirement de la voix "
mardi 11 avril 2017
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