- Esther Salmona, Amenées, Eric Pesty Editeur, 2017
1- Deuil, inventaire, objets, jaillissement, journal, vide, mémoire collective et individuelle: "Ce qui est laissé comme désossé une pièce échoïque. Un nombre important de plaques sur lesquelles la mémoire vient à manquer."
2- Toujours le temps du livre, entammé, il ya longtemps, et puis repris d'une traite. Un très beau texte, à relire.
mercredi 25 mars 2020
vendredi 13 mars 2020
Livres lus ou relus (entre le 21 et le 27/2)
- Henning Mankell, Une main encombrante, traduit du suédois par Anna Gibson, Seuil, 2014
- Tony Papin, Attention, Memyself, 2018
- Tony Papin, L'ordre du mérite, Memyself, 2017
1- Un roman policier, nouvelle expansée, et une postface éclairante sur le travail d'Henning Mankell par rapport à son héros (Wallander, que je rapproche de Maigret), et dans la construction des livres, toujours en prise aux événements contemporains de leur écriture.
2- Deux livres d'images. J'aime les photographies de Tony Papin, depuis longtemps, dans leur dépouillement, leur prosaïsme. je le suis de manière un peu épisodique, à travers son site, et plus récemment, sa newsletter. C'est une chose. Je découvre depuis un couple d'année la photographie. C'est autre chose. Ce qui me marque ici, c'est le halo, qui se dégage de chaque photographie, un regard qui s'attache , dans le prosaïque des objets quelconques, à faire de ce rien une luminosité particulière. Un halo, disais-je, une couronne de lumière qui entoure souvent l'objet, l'excède et le recntre, et c'est très beau, un regard sur le flou et le net, quelque chose qui me renvoie à la naissance de la photographie, ou de mon regard. Pay attention.
- Tony Papin, Attention, Memyself, 2018
- Tony Papin, L'ordre du mérite, Memyself, 2017
1- Un roman policier, nouvelle expansée, et une postface éclairante sur le travail d'Henning Mankell par rapport à son héros (Wallander, que je rapproche de Maigret), et dans la construction des livres, toujours en prise aux événements contemporains de leur écriture.
2- Deux livres d'images. J'aime les photographies de Tony Papin, depuis longtemps, dans leur dépouillement, leur prosaïsme. je le suis de manière un peu épisodique, à travers son site, et plus récemment, sa newsletter. C'est une chose. Je découvre depuis un couple d'année la photographie. C'est autre chose. Ce qui me marque ici, c'est le halo, qui se dégage de chaque photographie, un regard qui s'attache , dans le prosaïque des objets quelconques, à faire de ce rien une luminosité particulière. Un halo, disais-je, une couronne de lumière qui entoure souvent l'objet, l'excède et le recntre, et c'est très beau, un regard sur le flou et le net, quelque chose qui me renvoie à la naissance de la photographie, ou de mon regard. Pay attention.
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