lundi 1 juillet 2019

Livres lus ou relus (terminés entre le 17/11/18 et le 27/6/19)


- Alessandro De Francesco, Redéfinition, Mix, 2010
- Espace politique, fidélité, adversité, fraternité, Mix / Ebabx, 2011
 -Anne Babut, Relevés de soleil pour faire un jardin, Brands, 1991
- Maurice Blanchot, Une voix venue d’ailleurs, Ulysse fin de siècle, 1992
- Patrick Modiano, La Ronde de nuit, Gallimard, 1969
- Eric Houser, Un début un milieu et une fin, Eric Pesty Editeur, 2018
- Joël Egloff, J’enquête, Buchet-Chastel, 2016
- Guy Bennet, Œuvres presque accomplies, traduit de l’américain par Frédéric Forte et l’auteur, L’attente, 2018
- Laurent Cassagneau, Oskar Pastior, « Le Projet Pétrarque », Théâtre Typographique, 2018
- Michelle Noteboom, Hors-Cage, traduit de l’américain par Frédéric Forte, L’attente, 2010
- Pascal Poyet, Regardez, je peux faire aller Wittgenstein exactement où je veux, Théâtre typographique, 2018
- Erik Lindner, Un autostoppeur et son accident, une traduction du néerlandais de Bénédicte Vilgrain, Théâtre typographique, 2018
- Louis Zukofski, 80 fleurs, traduction de l’anglais (Etats-Unis) et postface d’Abigail Lang, Nous, 2018
- Antonio Manzini, Piste noire, traduit de l’italien par Samuel Sfez, Denoël, 2015
- Abbé Prevost, Manon Lescot, Gallimard, 1972
- Gérard Dhôtel, Louise Michel, « Non à l’exploitation », Actes Sud, 2014
- Philip Kerr, La trilogie berlinoise, traduit de l’anglais par Gilles Berton, Editions du Masque, 2008
- Christian Prigent, Une leçon d’anatomie, Jacques Brémond, 1990
- Georges Canguilhem, L’homme de Vésale dans le monde de Copernic, Les empêcheurs de penser en rond, 1991
- Sylvain Kermici, Hors la nuit, Gallimard, 2014
- Maurice Roche, Compact, Seuil, 1966
- Catherine Larrère, Lucile Schmid, Olivier Fressard, L’écologie est politique, Les petits matins, 2013
- Eduardo Berti, Une question qui revient de loin, Bibliothèque Oulipienne, 2018
- Pierre Courtaud, Récit d’une petite mort blanche avec les objets qui l’accompagnent, Atelier de l’agneau, 2004
- Maxime H. Pascal, L’invention de la soif, Le temps de cerises, 2012
- Fabienne Dion, Les chants soufferts, L’armourier, 2003
- Louis Le Bihan, Sels, Folle avoine, 2010
- Jacques Roubaud, Lire, écrire ou comment je suis devenu collectionneur de bibliothèques, ENSSIB, 2012
- Philippe Jacottet, Notes du ravin, Fata Morgana, 2001
- Pierre Rosenstiehl, Hypercube, matrice pour récits exponentiels, suivi de Hyper-images par Jacques Jouet, Bibliothèque oulipienne, 2018
- Nous nous souvenons de Harry Mathews, Bibliothèque oulipienne, 2018
- Georges Simenon, Maigret et les braves gens, Presses de la cité, 1962
- Pernette du Guillet, Rymes, Gallimard, 1983
- René Fallet, Paris au mois d’août, Cercle du bibliophile, 1966
- Marguerite Yourcenar, Les yeux ouverts, entretiens avec Mathieu Galey, Le Centurion, 1980
- Paul Eluard, Grain d’aile, Pocket, 1977
- Valery Larbaud, Mon itinéraire, Editions des Cendres, 1986
- Mark Twain, Les aventures de Tom Sawyer, Lire c’est partir, 2018
- Sylvie Decaux, L’Amérique de Mark Twain, Hachette, 1994
- Michel Tournier, Barberousse, Folio Junior, Gallimard, 2003
- Patti Smith, La mer de corail, traduction de l’anglais (Etats-Unis) par Jean-Paul Mourlon, Tristram, 2013
- A.C. Weisbecker, Cosmix Banditos, traduit de l’américain par Richard Matas, Gallimard, 1986
- Jordi Llobregat, Le Huitième livre de Vésale, traduit de l’Espagnol par Vanessa Capieu, Cherche midi, 2016
- Edouard Boubat, La Photographie, LGF, Livre de poche « pratique », 1974
- Juliette Drouet / Victor Hugo, Lettres choisies, Lire c’est partir, 2016
- Paul Verlaine / Marceline Desbordes-Valmore, Poésies, Lire c’est partir, 2016
- Guy de Maupassant, La Patronne, suivi de Idylle et de Toine, Lire c’est partir, 2016
- Guillaume Villemot, Charles de Gaulle, L’homme qui disait non, Lire c’est partir, 2017
- Chochana Boukhobza, Eros et Psyché, Lire c’est partir
- Karine Tournade, Le Minotaure, La chute d’Icare, Lire c’est partir
- Gudule, La réparatrice des p’tits cœurs brisés, Lire c’est partir, 2014
- Fred Vargas, L’homme aux cercles bleus, Magnard, 2006
- Utsugi Sakuko, Pays de neige, traduit du japonais par Patrick Honnoré, Picquier, 2017
- Herbert Lieberman, La nuit du solstice, traduit de l’américain par Robert Pépin, Seuil, 1985
- Friedrich Schlegel, Fragments, traduit et présenté par Charles Le Blanc, José Corti, 1996
- Langston Hughes, Mes beaux habits au clou, traduction de l’Anglais, Etats-Unis, par Frédéric Sylvanise, Joca Seria, 2019
- Erri de Luca, Europe, mes mises à feu, traduit de l’italine par Danièle Valin, Gallimard, 2019
- Victor Hugo, L’homme qui rit, Lire c’est partir, 2015
- Anne-Marie Albiach, La mezzanine, le dernier récit de Catarina Quia, Seuil, 2019
- Arni Thorarinsson, Le Crime, histoire d'amour, traduit de l'islandais par Eric Boury, Métailié, 2016

1- Combler le retard.
2- Des vides effrayants (semaines sans lecture: pris dans le travail, un certain dégoût des livres, une pesanteur, des rêveries peu propices à la lecture, des échecs). Une impression de "peu de lecture", la liste finalement, sans notes.
3- Le pire et le meilleur (des livres attendus, précieux, des surprises, et une délectation pour la mauvais polar, par moments, comme on regarde un blockbuster).
4- Le récit.
5- Des lectures de travail, certaines omises, comme souvent (les relectures scolaires).
6- Reste ce qui peut, comme débris.
7- Reprendre un rythme.

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