- Alessandro De
Francesco, Redéfinition, Mix, 2010
- Espace
politique, fidélité, adversité, fraternité, Mix / Ebabx, 2011
-Anne Babut, Relevés
de soleil pour faire un jardin, Brands, 1991
- Maurice
Blanchot, Une voix venue d’ailleurs, Ulysse fin de siècle, 1992
- Patrick
Modiano, La Ronde de nuit, Gallimard, 1969
- Eric Houser, Un
début un milieu et une fin, Eric Pesty Editeur, 2018
- Joël Egloff, J’enquête,
Buchet-Chastel, 2016
- Guy Bennet, Œuvres
presque accomplies, traduit de l’américain par Frédéric Forte et l’auteur,
L’attente, 2018
- Laurent
Cassagneau, Oskar Pastior, « Le Projet Pétrarque », Théâtre
Typographique, 2018
- Michelle
Noteboom, Hors-Cage, traduit de l’américain par Frédéric Forte, L’attente,
2010
- Pascal Poyet, Regardez,
je peux faire aller Wittgenstein exactement où je veux, Théâtre
typographique, 2018
- Erik Lindner, Un
autostoppeur et son accident, une traduction du néerlandais de Bénédicte
Vilgrain, Théâtre typographique, 2018
- Louis
Zukofski, 80 fleurs, traduction de l’anglais (Etats-Unis) et postface d’Abigail
Lang, Nous, 2018
- Antonio
Manzini, Piste noire, traduit de l’italien par Samuel Sfez, Denoël, 2015
- Abbé Prevost, Manon
Lescot, Gallimard, 1972
- Gérard Dhôtel,
Louise Michel, « Non à l’exploitation », Actes Sud, 2014
- Philip Kerr, La
trilogie berlinoise, traduit de l’anglais par Gilles Berton, Editions du
Masque, 2008
- Christian
Prigent, Une leçon d’anatomie, Jacques Brémond, 1990
- Georges
Canguilhem, L’homme de Vésale dans le monde de Copernic, Les empêcheurs
de penser en rond, 1991
- Sylvain
Kermici, Hors la nuit, Gallimard, 2014
- Maurice Roche, Compact, Seuil, 1966
- Catherine Larrère,
Lucile Schmid, Olivier Fressard, L’écologie est politique, Les petits
matins, 2013
- Eduardo Berti,
Une question qui revient de loin, Bibliothèque Oulipienne, 2018
- Pierre
Courtaud, Récit d’une petite mort blanche avec les objets qui l’accompagnent,
Atelier de l’agneau, 2004
- Maxime H.
Pascal, L’invention de la soif, Le temps de cerises, 2012
- Fabienne Dion,
Les chants soufferts, L’armourier, 2003
- Louis Le
Bihan, Sels, Folle avoine, 2010
- Jacques
Roubaud, Lire, écrire ou comment je suis devenu collectionneur de
bibliothèques, ENSSIB, 2012
- Philippe
Jacottet, Notes du ravin, Fata Morgana, 2001
- Pierre
Rosenstiehl, Hypercube, matrice pour récits exponentiels, suivi de Hyper-images
par Jacques Jouet, Bibliothèque oulipienne, 2018
- Nous nous
souvenons de Harry Mathews, Bibliothèque oulipienne, 2018
- Georges
Simenon, Maigret et les braves gens, Presses de la cité, 1962
- Pernette du
Guillet, Rymes, Gallimard, 1983
- René Fallet, Paris
au mois d’août, Cercle du bibliophile, 1966
- Marguerite
Yourcenar, Les yeux ouverts, entretiens avec Mathieu Galey, Le
Centurion, 1980
- Paul Eluard, Grain
d’aile, Pocket, 1977
- Valery
Larbaud, Mon itinéraire, Editions des Cendres, 1986
- Mark Twain, Les
aventures de Tom Sawyer, Lire c’est partir, 2018
- Sylvie Decaux,
L’Amérique de Mark Twain, Hachette, 1994
- Michel
Tournier, Barberousse, Folio Junior, Gallimard, 2003
- Patti Smith, La
mer de corail, traduction de l’anglais (Etats-Unis) par Jean-Paul Mourlon,
Tristram, 2013
- A.C.
Weisbecker, Cosmix Banditos, traduit de l’américain par Richard Matas,
Gallimard, 1986
- Jordi
Llobregat, Le Huitième livre de Vésale, traduit de l’Espagnol par
Vanessa Capieu, Cherche midi, 2016
- Edouard
Boubat, La Photographie, LGF, Livre de poche « pratique »,
1974
- Juliette
Drouet / Victor Hugo, Lettres choisies, Lire c’est partir, 2016
- Paul Verlaine
/ Marceline Desbordes-Valmore, Poésies, Lire c’est partir, 2016
- Guy de
Maupassant, La Patronne, suivi de Idylle et de Toine, Lire c’est partir,
2016
- Guillaume
Villemot, Charles de Gaulle, L’homme qui disait non, Lire c’est partir, 2017
- Chochana
Boukhobza, Eros et Psyché, Lire c’est partir
- Karine
Tournade, Le Minotaure, La chute d’Icare, Lire c’est partir
- Gudule, La
réparatrice des p’tits cœurs brisés, Lire c’est partir, 2014
- Fred Vargas, L’homme
aux cercles bleus, Magnard, 2006
- Utsugi Sakuko,
Pays de neige, traduit du japonais par Patrick Honnoré, Picquier, 2017
- Herbert
Lieberman, La nuit du solstice, traduit de l’américain par Robert Pépin,
Seuil, 1985
- Friedrich Schlegel,
Fragments, traduit et présenté par Charles Le Blanc, José Corti, 1996
- Langston
Hughes, Mes beaux habits au clou, traduction de l’Anglais, Etats-Unis, par
Frédéric Sylvanise, Joca Seria, 2019
- Erri de Luca, Europe,
mes mises à feu, traduit de l’italine par Danièle Valin, Gallimard, 2019
- Victor Hugo, L’homme
qui rit, Lire c’est partir, 2015
- Anne-Marie
Albiach, La mezzanine, le dernier récit de Catarina Quia, Seuil, 2019
- Arni Thorarinsson, Le Crime, histoire d'amour, traduit de l'islandais par Eric Boury, Métailié, 2016
- Arni Thorarinsson, Le Crime, histoire d'amour, traduit de l'islandais par Eric Boury, Métailié, 2016
1- Combler le retard.
2- Des vides effrayants (semaines sans lecture: pris dans le travail, un certain dégoût des livres, une pesanteur, des rêveries peu propices à la lecture, des échecs). Une impression de "peu de lecture", la liste finalement, sans notes.
3- Le pire et le meilleur (des livres attendus, précieux, des surprises, et une délectation pour la mauvais polar, par moments, comme on regarde un blockbuster).
4- Le récit.
5- Des lectures de travail, certaines omises, comme souvent (les relectures scolaires).
6- Reste ce qui peut, comme débris.
7- Reprendre un rythme.
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