1- Être un peu déçu par un livre, parce qu'on attend autre chose (ici, je repensais au livre avec Olivier Cadiot, Rouge vers et noir).
2- Cloaque parle de l'art contemporain, de politique et de société, au sens large. Le prétexte en est le naufrage d'un paquebot en Corée, dont l'armateur est aussi un artiste ( Yoo Byung-eun, alias Ahae). Des liens se tissent avec l'économie, la dimension sociale, le politique (et c'est plutôt enthousiasmant). Carbonnet raconte, témoigne de ce qu'il a vu. Il prend des photographies, fabrique des réseaux. J'en garde un impression brouillonne, qui ne va pas jusqu'au bout, quelque chose qui serait sur l'établi. Ou bien c'est ma lecture. A reprendre plus tard. Laisse reposer.
3- Je ne comprends pas l'usage de certaines coquilles, qui semblent volontaires, à ce qu'elles apportent au texte.
4- "Les molécules d'eau se déplacent sans cesse, une multitude de vaguelettes produisent de nouveaux plis. Des ondulations, sinuosités sans fin, des remous. Les spirales qui forcent les flots ne sont pas là." (41)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire