vendredi 14 février 2020

Livres lus ou relus (terminés entre le 9/8/19 et le 13/2/20)


- J.H.Lartigue, Watersides, Bookking international, 1990
- Jacques Roubaud, ‘le grand incendie de Londres’, Seuil, 2009 (La destruction, La boucle, Mathématique :, Impératif catégorique, Poésie :, La bibliothèque de Warburg)
- Jacques Roubaud, La dissolution, Nous, 2008 
- Jean Rolin, Le ravissement de Britney Spears, POL, 2011
- Sir Arthur Connan Doyle, Ecrit dans le sang, traduit de l’anglais par Beatrice Vierne, Anatolia, 2009
- Cormac Mc Carthy, La Route, traduit de l'anglais par François Hirsch, L'Olivier, 2008
- P.N.A. Handschin, L’Eclipse, mix, 2007
- Hans Fallada, Seul dans Berlin, traduit de l’allemand par A. Virelle et A. Vandevoorde, denoël, 1967
- George Oppen, 21 Poems, New Directions, 2017
- Bernard Noël, Le Château de Cène, suivi de L’Outrage aux mots, Jean-Jacques Pauvert éditeur, 1975
- Luc Bénazet, Rainal !, Eric Pesty Editeur, 2019
- Ryoko Sekiguchi, Sugio Yamagachi, Valentin Devos, Le nuage, dix façons de le préparer, Editions de l’épure, 2019 
- Sébastien Chambru, Le cèpe, dix façons de le préparer, Editions de l’épure, 2003
- Marivaux, La dispute, Librio, 2012
- Voltaire, L’ingénu, Livre de poche, 1972
- Jean-Christophe Grangé, La dernière chasse, Albin Michel, 2019
- Andrew Zawacki, Sonnetssonnants, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne Portugal, Joca Seria, 2019
- Maurice Carême, Images perdues, chez l’auteur, 1954
- Cole Swensen, And Hand, a+bend press, 2000
- Pierre Corneille (monsieur de Cantenac, en fait), L’occasion perdue et recouverte, Le veilleur de Proue, 2005
- Maurice Déribéré, Images étranges de la nature, Editions de Varenne, 1951
- Olivier Truc, Le détroit du loup, Métailié, 2014
- Jean Rolin, Le Traquet kurde, POL, 2018
- Pierre Sky, Chant-contre-chant, Marest, 2019
- Marina Tsvetaeva, Le poète et le temps, traduit du russe par Véronique Lossky, Le temps qu’il fait, 1989
- Pierre-jean Amar, L’ABCdaire de la photographie, Flammarion, 2003
- Pierre Bourgeade, Les serpents, Gallimard, 1983
- Pascal Poyet, Un futur, L’ours blanc, 2019
- Marianne Alphant, Cathédrale(s) de Claude Monet, Editions point de vues, 2010
- Damien Sausset, L’ABCdaire de Van Eyck, Flammarion, 2002
- Francis Ponge, Le grand Recueil, Lyres, Gallimard, 1961
- Leo Perutz, Le maître du jugement dernier, traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle, Fayard, 1989
- Ragnar Jonasson, Snjor, traduit de la version anglaise d’après l’islandais par Philipee Reilly, La Martinière, 2016
- Hans Magnus Enzensberger, Chicago-Ballade, traduit de l’allemand par Lily Jumel, Allia, 2009
- Rémi Bouthonnier, Lire serait voir l’intérieur du déplacement, Eric Pesty Editeur, 2019
- J.H. Prynne, Poèmes de cuisine, traduit de l’anglais par Bernard Dubourg et l’auteur, 2019
- Eberhard König, Manuscrits à peinture XIIIème-XVème siècle, Direction du Livre et de la lecture, 1992
- Marc-Antoine Decavèle, Pour Malévitch, Peintures, La Galerie Valérie Eymeric, 2019
- Alain Dodier, Contrefaçons, Dupuis, 2019
- Jean Rolin, Crac, POL, 2019
- Arnaldur Indridasson, Les fils de la poussière, traduit de l’islandais par Eric Boury, Métailié, 2018
- Franck Thilliez, [Angor], Fleuve noir, 2014
- Franck Thilliez, Rêver, Fleuve noir, 2016
- Antoine Léon, Histoire de l’enseignement en France, PUF, 1972
- Denis Roche, La disparition des Lucioles, Seuil, 2016 (réédition)
- Alexandre Pouchkine, Eugène Oniéguine, Seuil, traduit du russe par Nata Minor, 1990, 1998

1- Une liste en retard, peu fournie, avec sans doute quelques manques, où le pire (avec délectation, comme on se fait de la junk food) côtoie le meilleur sans ordre chronologique.
2- La lecture de Roubaud, ce vaste labyrinthe de mémoire, qui donne envie d’être relu (marquer une lecture complète – mais j’avais déjà pris et repris certains volumes). Le prolongement, par rejets, ailleurs.
3- Eugène Onéguine, qui me fascine vraiment, déjà acheté une autre traduction, ce matin.
4- Deux bornes. Il pourrait y en avoir d’autres (et « Les bons livres ont besoin des mauvais livres pour exister », Me disait C., en gros).
5- Le travail, la fatigue, le manque d’entrain parfois. Et pas un seul livre de travail noté - alors qu'il y en a - des relectures essentiellement. Le temps du livre qui n’est pas là, malgré l’envie souvent devant l’étal du libraire. je suis effrayé à rebours par ces périodes de vide.
6- Reprendre avec régularité ( ?)

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