- J.H.Lartigue, Watersides,
Bookking international, 1990
- Jacques
Roubaud, ‘le grand incendie de Londres’, Seuil, 2009 (La destruction,
La boucle, Mathématique :, Impératif catégorique, Poésie :,
La bibliothèque de Warburg)
- Jacques
Roubaud, La dissolution, Nous, 2008
- Jean Rolin, Le ravissement de Britney Spears, POL, 2011
- Jean Rolin, Le ravissement de Britney Spears, POL, 2011
- Sir Arthur
Connan Doyle, Ecrit dans le sang, traduit de l’anglais par Beatrice
Vierne, Anatolia, 2009
- Cormac Mc Carthy, La Route, traduit de l'anglais par François Hirsch, L'Olivier, 2008
- Cormac Mc Carthy, La Route, traduit de l'anglais par François Hirsch, L'Olivier, 2008
- P.N.A.
Handschin, L’Eclipse, mix, 2007
- Hans Fallada, Seul
dans Berlin, traduit de l’allemand par A. Virelle et A. Vandevoorde,
denoël, 1967
- George Oppen, 21
Poems, New Directions, 2017
- Bernard Noël, Le
Château de Cène, suivi de L’Outrage aux mots, Jean-Jacques Pauvert éditeur,
1975
- Luc Bénazet, Rainal !,
Eric Pesty Editeur, 2019
- Ryoko
Sekiguchi, Sugio Yamagachi, Valentin Devos, Le nuage, dix façons de le
préparer, Editions de l’épure, 2019
- Sébastien
Chambru, Le cèpe, dix façons de le préparer, Editions de l’épure, 2003
- Marivaux, La
dispute, Librio, 2012
- Voltaire, L’ingénu,
Livre de poche, 1972
- Jean-Christophe
Grangé, La dernière chasse, Albin Michel, 2019
- Andrew
Zawacki, Sonnetssonnants, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Anne
Portugal, Joca Seria, 2019
- Maurice
Carême, Images perdues, chez l’auteur, 1954
- Cole Swensen, And
Hand, a+bend press, 2000
- Pierre
Corneille (monsieur de Cantenac, en fait), L’occasion perdue et recouverte,
Le veilleur de Proue, 2005
- Maurice
Déribéré, Images étranges de la nature, Editions de Varenne, 1951
- Olivier Truc, Le
détroit du loup, Métailié, 2014
- Jean Rolin, Le
Traquet kurde, POL, 2018
- Pierre Sky, Chant-contre-chant,
Marest, 2019
- Marina
Tsvetaeva, Le poète et le temps, traduit du russe par Véronique Lossky,
Le temps qu’il fait, 1989
- Pierre-jean
Amar, L’ABCdaire de la photographie, Flammarion, 2003
- Pierre
Bourgeade, Les serpents, Gallimard, 1983
- Pascal Poyet, Un
futur, L’ours blanc, 2019
- Marianne Alphant,
Cathédrale(s) de Claude Monet, Editions point de vues, 2010
- Damien
Sausset, L’ABCdaire de Van Eyck, Flammarion, 2002
- Francis Ponge,
Le grand Recueil, Lyres, Gallimard, 1961
- Leo Perutz, Le
maître du jugement dernier, traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle,
Fayard, 1989
- Ragnar
Jonasson, Snjor, traduit de la version anglaise d’après l’islandais par
Philipee Reilly, La Martinière, 2016
- Hans Magnus
Enzensberger, Chicago-Ballade, traduit de l’allemand par Lily Jumel,
Allia, 2009
- Rémi
Bouthonnier, Lire serait voir l’intérieur du déplacement, Eric Pesty
Editeur, 2019
- J.H. Prynne, Poèmes
de cuisine, traduit de l’anglais par Bernard Dubourg et l’auteur, 2019
- Eberhard
König, Manuscrits à peinture XIIIème-XVème siècle, Direction du Livre et
de la lecture, 1992
- Marc-Antoine
Decavèle, Pour Malévitch, Peintures, La Galerie Valérie Eymeric, 2019
- Alain Dodier, Contrefaçons,
Dupuis, 2019
- Jean Rolin, Crac,
POL, 2019
- Arnaldur
Indridasson, Les fils de la poussière, traduit de l’islandais par Eric
Boury, Métailié, 2018
- Franck
Thilliez, [Angor], Fleuve noir, 2014
- Franck
Thilliez, Rêver, Fleuve noir, 2016
- Antoine Léon, Histoire
de l’enseignement en France, PUF, 1972
- Denis Roche, La
disparition des Lucioles, Seuil, 2016 (réédition)
- Alexandre
Pouchkine, Eugène Oniéguine, Seuil, traduit du russe par Nata Minor,
1990, 1998
1- Une liste en
retard, peu fournie, avec sans doute quelques manques, où le pire (avec
délectation, comme on se fait de la junk food) côtoie le meilleur sans
ordre chronologique.
2- La lecture de
Roubaud, ce vaste labyrinthe de mémoire, qui donne envie d’être relu (marquer
une lecture complète – mais j’avais déjà pris et repris certains volumes). Le
prolongement, par rejets, ailleurs.
3- Eugène
Onéguine, qui me fascine vraiment, déjà acheté une autre traduction, ce
matin.
4- Deux bornes.
Il pourrait y en avoir d’autres (et « Les bons livres ont besoin des
mauvais livres pour exister », Me disait C., en gros).
5- Le travail,
la fatigue, le manque d’entrain parfois. Et pas un seul livre de travail noté - alors qu'il y en a - des relectures essentiellement. Le temps du livre qui n’est pas là,
malgré l’envie souvent devant l’étal du libraire. je suis effrayé à rebours par ces périodes de vide.
6- Reprendre
avec régularité ( ?)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire