- Robert Pinget, Du nerf, Minuit, 1990
- Pascal Quignard, Pour trouver les enfers, Galilée, 2005
1- Je reviens à Pinget de temps à autre, depuis Théo, lu il y a bien longtemps. Il faudrait creuser, prendre le temps de regrouper, mettre en perspective cet ensemble autour d'un personnage.
2- Ouvrir le livre de Roudaut, un des quelques que je n'ai pas encore lus, et qui attend dans la bibliothèque (moment et désir, vie des livres).
3- Théo, entre Monsieur Teste et Godot (et peut-être une postérité dans le premier livre de Chevillard): aphorismes, paradoxes, goût de la foirade. Attente de la fin, l'occupation.
4- "Une description.
Mais on ne décrit que ce qu'on ne voit pas. Condition requise, insouciance, légèreté, jeunesse.
Même le souvenir se dérobe." (11)
5- "Un auteur incompréhensible à la moyenne du public, c'est-à-dire jouant du paradoxe ou de la multiplicité du sens est immédiatement taxé d'absurde. Curieux retournement. L'absurde défini par son contraire." (84)
6- Quignard, à partir d'opéras, coupe, démonte, recolle, travaille la réduction, la brièveté de la forme, digest mais très fin.
7- Pas le moment, étrangement, alors même que l'idée devrait m'intéresser. Le texte me reste un peu opaque. Une fine pellicule m'empêche d'y entrer. On note, on reviendra.
mercredi 5 juillet 2017
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