- Paul Eluard,
Man Ray, Les Mains libres, Gallimard, 1947
- Philippe
Claudel, De quelques amoureux des livres que la littérature fascinait, qui
aspiraient à devenir écrivain mais en furent empêchés par diverses raisons qui
tenaient aux circonstances, au siècle de leur naissance, à leur caractère,
faiblesse, lâcheté, mollesse, bravoure, ou bien encore au hasard qui de la vie
fait son jouet & entre les mains duquel nous ne sommes que de menues
créatures, vulnérables & chagrines, Finitude, 2015
1- Brefs poèmes
d’Eluard sur des dessins de Man Ray (et non l’inverse : semi-ekphrasis,
dérivées, oniriques - ce qui m'intéresse).
2- Énumération
de ratages littéraires fictifs, tous débutant par l’esperluette, un peu
borgésiens et souvent vraiment drôles (j’ai éclaté de rire plusieurs fois – 28, par exemple) – le dernier est peut-être
de trop : « Quant à moi […], 112, parce qu’il referme l’absurdité
fictionnelle qui fonctionnait si bien. Le jeu sur le titre long, qui fait la
couverture, irait dans ce sens dans son étirement.
3- Je pense à
plusieurs livres sur les œuvres détruites, que j’ai envie de relire.
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